[Note 1] Le touchant récit qu’on vient de lire n’est malheureusement pas tout à fait inédit. Il fut inséré dans mes Histoires désobligeantes, publiées chez Dentu, en 1894. Mais l’insuccès de ce livre, demeuré presque inconnu, a été si grand qu’à l’exception de quelques furieux qui recueillent jusqu’à mes raclures, on peut être certain que cette page n’a jamais été lue par personne. Pourquoi recommencer, d’ailleurs, une chose qui fut si bien faite et quelle autre paraphrase plus lumineuse aurais-je pu écrire ?